RÉVÉLATIONS DE DONNÉES DÉVOILÉES : Les cinq dernières lignes de l’enregistrement des données de vol d’Air India 171 indiquent une entrée soudaine et inattendue qui ne provenait pas du pilote

DONNÉES INÉDITES : Les derniers instants du vol 171 d’Air India révèlent une source mystérieuse

Le 12 juin 2025, le vol AI-171 d’Air India, un Boeing 787-8 Dreamliner, s’est écrasé quelques secondes après son décollage de l’aéroport international Sardar Vallabhbhai Patel d’Ahmedabad, à destination de Londres Gatwick. La tragédie a fait 241 morts, dont un seul survivant, et 29 autres décès au sol lorsque l’avion s’est écrasé sur le complexe du BJ Medical College. Alors que les enquêteurs se penchent sur l’épave et les données, une révélation surprenante apparaît : les cinq premières données de l’enregistreur de données de vol (FDR) révèlent une erreur de commande qui ne provient pas des pilotes, et dont la source est inconnue. Cet article explore les implications de cette erreur, l’enquête initiale et le contexte plus large de la sécurité aérienne en Inde, en s’appuyant sur des rapports de réception et des analyses critiques.

Le Crash : une chronologie de la tragédie

Le vol AI-171 d’Air India a décollé à 13h38 IST le 12 juin 2025, transportant 230 passagers et 12 membres d’équipage. À peine 40 secondes plus tard, à 13h40, l’avion a lancé un appel de détresse, avec ces mots glaçants : « Pas de poussée, mayday, mayday », avant de s’écraser sur un complexe hôtelier à moins de 2 kilomètres de la piste. Le Boeing 787-8 Dreamliner, immatriculé VT-ANB, était équipé de systèmes de pointe, mais une catastrophe s’est produite en ces instants fugaces. L’accident a tué 241 des 242 personnes à bord et 29 personnes sur le terrain, ce qui en fait l’une des catastrophes aériennes les plus meurtrières de l’histoire de l’Inde.

Le Bureau d’enquête sur les accidents d’avion (AAIB), avec le soutien du Conseil national de la sécurité des transports des États-Unis (NTSB) et de la Direction des enquêtes sur les accidents aériens du Royaume-Uni (AAIB), a analysé les boîtes noires du vol, notamment l’enregistreur de conversations de poste de pilotage (CVR) et le FDR. Le processus d’extraction des données a débuté le 24 juin, et les deux enregistreurs ont été récupérés avec succès sur le lieu du crash. Le rapport préliminaire, attendu pour le 11 juillet, devrait fournir des informations cruciales sur le déroulement des événements. Cependant, la révélation d’un contrôle mystérieux sur les vies de Roosevelt a soulevé de nouvelles questions sur la cause de l’accident.

Les données Uпseeп : une introduction soudaine et inexpliquée

Selon des sources proches de l’enquête, les cinq dernières données du FDR indiquent une erreur de commande soudaine ayant modifié la trajectoire de l’avion, mais cette erreur n’a pas été initiée par les pilotes. Cette anomalie, décrite comme une « erreur soudaine provenant d’une source inconnue », a suscité de nombreuses spéculations. L’incident pourrait entraîner des modifications des commandes de vol, des réglages des gaz ou d’autres systèmes critiques de l’avion, mais la cause exacte reste inconnue. Le fait qu’il n’ait pas été provoqué par le pilote suggère plusieurs possibilités : une panne mécanique, un dysfonctionnement électrique, une interférence externe ou un sabotage.

Le Boeing 787-8 est équipé d’un système de commandes de vol électriques, où les commandes du pilote sont traitées par des commandes électroniques plutôt que mécaniques. Ce système, bien que très avancé, présente des vulnérabilités aux problèmes logiciels, aux cyberattaques ou au comportement attendu du système. La turbine à air dynamique d’urgence, qui se déploie pour fournir une alimentation de secours en cas de panne de l’appareil, aurait été activée avant le crash, laissant présager une perte potentielle de l’alimentation principale. Cependant, les informations publiées dans le FDR ne correspondent pas aux procédures d’urgence standard, ce qui approfondit le mystère.

Causes possibles sous enquête

L’AAIB étudie plusieurs hypothèses, notamment une panne de double engin, une contamination de carburant, des défaillances techniques et un sabotage. Les simulations réalisées par les pilotes d’Air India suggèrent que le train d’atterrissage et les positions des volets ne pourraient pas à eux seuls être à l’origine de l’accident, ce qui laisse présager une panne plus complexe, voire des problèmes similaires à ceux de l’engin. Les données du FDR, combinées à l’appel de détresse du CVR indiquant « hors poussée », soutiennent la théorie de la défaillance de l’appareil, mais l’entrée identifiée complique ce récit.

La contamination du carburant est une autre piste étudiée. Elle pourrait entraîner une panne du système, mais elle n’expliquerait pas la panne soudaine du système, à moins qu’elle ne déclenche un dysfonctionnement en cascade du système. Le sabotage, bien que sujet sensible, fait également l’objet d’une surveillance accrue. La possibilité d’une interférence extérieure, telle qu’une cyberattaque contre le système de commandes de vol électriques, n’a pas été écartée, bien que des preuves aient été publiquement confirmées. La complexité de l’enquête est aggravée par la décision de l’Inde d’empêcher un observateur de l’Organisation internationale de l’aviation civile (OACI) de prêter assistance, ce qui suscite des inquiétudes quant à la transparence.

Contexte plus large : sécurité aérienne en Inde

Le crash de l’AI-171 a relancé les débats sur la sécurité aérienne en Inde. Seulement 38 heures après la tragédie, un autre vol d’Air India, l’AI-187, un Boeing 777 à destination de Vienne, a subi une perte d’altitude de 900 pieds peu après son décollage de Delhi, accompagnée d’un décrochage et d’alertes de proximité. L’incident, survenu dans un contexte de violent orage, n’a pas été entièrement documenté dans le rapport initial du pilote, ce qui soulève des questions quant à l’exactitude et à la surveillance du rapport. La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a lancé une enquête, examinant les pilotes et accusant le responsable de la sécurité d’Air India.

La réponse de la DGCA à l’accident de l’AI-171 a consisté à ordonner des contrôles de sécurité approfondis sur la flotte Boeing 787 d’Air India, avec 26 des 33 Dreamliners d’Air India autorisés avant le 18 juin. Cependant, les incidents consécutifs ont placé Air India et Boeing sous surveillance. Les critiques affirment que l’infrastructure de sécurité aérienne de l’Inde est à la traîne par rapport aux normes mondiales, avec des problèmes tels que l’insuffisance des évaluations médicales pré-vol, des contrôles de qualité de la restauration et de la coordination internationale entre les entités et les opérations. Le fonctionnement de l’AAIB au sein du ministère de l’Aviation civile a également suscité des inquiétudes quant à son indépendance.

Misiпformation et réponse publique

L’accident a également mis en lumière les défis de la désinformation à l’ère numérique. Des rapports générés par l’IA et de fausses vidéos imitant les enquêtes officielles ont circulé, compliquant la communication publique. Les experts soulignent la nécessité d’une meilleure adaptabilité des plateformes et d’une sensibilisation du public pour lutter contre cette désinformation. L’empressement à déposer des marques comme « Vol 171 » et « Dernier vol AI 171 » quelques jours après l’accident illustre encore davantage le chaos de la réaction publique.

Les familles des victimes, notamment celles du Royaume-Uni, se préparent à poursuivre Air India et Boeing devant les tribunaux britanniques, en vue d’obtenir réparation pour leurs pertes. La communauté aéronautique internationale suit de près l’enquête, car les révélations pourraient avoir des conséquences considérables sur la conception du Boeing 787 et les opérations d’Air India.

Analyse critique : quels sont les enjeux ?

Le mystère des données du FDR soulève de profondes questions sur les technologies aéronautiques modernes. Les systèmes de commandes de vol électriques, tout en améliorant leur efficacité, présentent des risques de vulnérabilités logicielles ou d’interactions système malveillantes. Si l’incident était dû à une cyberattaque ou à un bug logiciel, il pourrait entraîner une réévaluation des protocoles de cybersécurité dans l’ensemble du secteur. Alternativement, si une défaillance mécanique ou un sabotage est confirmé, cela peut indiquer des manquements aux procédures d’entretien ou de sécurité.

Le retard dans la publication du rapport préliminaire, attendu pour le 11 juillet, a suscité des critiques, certains experts le qualifiant d’insensé compte tenu de la gravité de l’accident. Le refus de l’Inde d’autoriser l’OACI à intervenir davantage alimente le scepticisme quant à l’impartialité de l’enquête. Si la collaboration de l’AAIB avec le NTSB et l’AAIB britannique constitue une avancée positive, la manipulation des boîtes noires et la lenteur des mises à jour publiques ont suscité des inquiétudes.

Regard vers l’avenir

Alors que l’AAIB poursuit son analyse, l’industrie aéronautique attend des réponses susceptibles de remodeler les protocoles de sécurité, la surveillance réglementaire et la confiance du public. L’entrée de contrôle identifiée dans les derniers instants de l’AI-171 est un rappel inquiétant de la situation.Les complexités des technologies aéronautiques modernes. Que la cause soit mécanique, humaine ou malveillante, cette tragédie souligne la nécessité de mesures de sécurité robustes et d’enquêtes transparentes.

Le rapport préliminaire, attendu prochainement, pourrait apporter des éclaircissements sur le mystère, mais des réponses complètes pourraient prendre des mois. D’ici là, la communauté aéronautique mondiale et les familles des victimes sont confrontées au deuil et à la certitude, espérant que des éclaircissements seront apportés sur certains des moments les plus sombres de l’histoire de l’aviation indienne.

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