Le monde fantastique de la Terre du Milieu s’anime à nouveau, provoquant une onde de choc à Hollywood le 30 octobre 2025. Des fuites explosives confirment en effet le retour imminent des stars originales du Seigneur des Anneaux, Orlando Bloom, Viggo Mortensen et Sir Ian McKellen, pour le très attendu La Chasse à Gollum. Réalisé par Andy Serkis, qui incarnera également la créature éponyme, ce film épique de Warner Bros., prévu pour 2026, promet de faire le lien entre la trilogie de Peter Jackson et une nouvelle ère d’adaptations de Tolkien. Le tournage devrait s’intensifier dans les paysages majestueux de Nouvelle-Zélande, berceau de la saga originale il y a vingt ans.

Andy Serkis, le maître de la capture de mouvement à l’origine de l’inoubliable dualité de Gollum, entre le gémissement de Sméagol et les grognements gutturaux de la créature, est à la fois réalisateur et acteur principal. Il avait déjà endossé ce rôle en 2001 dans La Communauté de l’Anneau, où sa performance novatrice avait redéfini les effets spéciaux numériques au cinéma. Des courriels divulgués de dirigeants de Warner Bros. révèlent que Serkis a personnellement invité Bloom lors d’une réunion Zoom secrète le mois dernier, louant la « grâce intemporelle » de l’archer elfe et imaginant Legolas comme un allié discret dans la traque, sa silhouette agile se faufilant dans l’obscurité de la Forêt Noire pour traquer l’insaisissable Gollum à travers des sentiers oubliés.
Orlando Bloom, aujourd’hui âgé de 48 ans et qui connaît un grand succès dans le jeu indépendant, notamment grâce à Gran Turismo, après son rôle de pirate dans Pirates des Caraïbes, a répondu à Serkis avec une ambiguïté enthousiaste lors d’une récente apparition au Today Show. Il a plaisanté en disant qu’il « détesterait voir quelqu’un d’autre incarner Legolas », tout en admettant n’avoir rien entendu d’officiel à ce sujet. Pourtant, les fuites dressent un tout autre tableau, révélant une version préliminaire du scénario où Legolas émerge des ombres de la Lothlórien, la corde de son arc vibrant avec une précision elfique, tandis qu’il aide Aragorn lors d’une embuscade tendue en forêt, un clin d’œil aux appendices de Tolkien où la loyauté de l’elfe envers la Communauté perdure au-delà de la Guerre de l’Anneau.
Viggo Mortensen, l’errant stoïque qui a immortalisé l’héroïsme farouche d’Aragorn, de ses débuts de rôdeur malgré lui à son couronnement en tant qu’Elessar, est depuis longtemps la figure emblématique de tout renouveau de la Terre du Milieu, et son intérêt exprimé semble être un appel du destin le ramenant sur les rives de l’Anduin. À 67 ans, Mortensen a déclaré à Variety en début d’année qu’il reviendrait « si cela convient au personnage », insistant sur la fidélité à l’œuvre de Tolkien plutôt que sur une simple exploitation commerciale, une position qui s’accorde parfaitement avec l’importance accordée par le film au rôle crucial du rôdeur dans la capture de Gollum avant que l’ombre de l’Anneau Unique ne s’étende.
Les fuites laissent entendre qu’Aragorn, incarné par Mortensen, sera au cœur de l’histoire, menant une traque clandestine à travers les Monts Brumeux. Ses talents de pisteur, aiguisés par la nature sauvage, se heurteront à la ruse insaisissable de Gollum dans un jeu du chat et de la souris qui fait écho à la tension de la trilogie, mais se déroule dans des préquelles obscures. Des sources proches de la production évoquent des scènes intenses où Aragorn est confronté au dilemme moral de la clémence, épargnant la créature misérable comme il l’avait fait dans les livres. Un moment qui pourrait mettre en valeur l’intensité brute de Mortensen face à la magie de la capture de mouvement de Serkis.
Sir Ian McKellen, l’interprète pétillant du magicien dont le Gandalf a évolué des espiègleries du Gris fumant l’herbe à la tonitruante injonction du Blanc « Vous ne passerez pas », s’est montré le plus loquace quant à un éventuel retour. Dans une interview accordée à Big Issue, il a révélé que Warner Bros. l’avait de nouveau contacté avec un synopsis mettant l’accent sur les jeux d’esprit stratégiques des Istari. À 86 ans, McKellen a plaisanté en disant qu’il jouerait Gandalf « si je suis encore en vie », mais ses yeux se sont illuminés lorsqu’il a évoqué la profondeur intellectuelle du rôle, faisant allusion à des scènes où le magicien déchiffre d’anciennes runes pour prédire le parcours de Gollum, tissant un feu d’artifice de prévoyance au cœur des périls de la chasse.
Dans cette version, le Gandalf de McKellen apparaît comme le mystérieux instigateur, envoyant Aragorn en quête tout en consultant des alliés elfiques, à la manière d’une apparition de Galadriel (Cate Blanchett), dont le miroir reflète des bribes de la corruption de l’Anneau bien avant le fardeau de Frodon. Les fuites s’enthousiasment pour l’alchimie entre McKellen et Serkis, rappelant leurs interrogatoires improvisés de Gollum-Gandalf dans les versions longues, désormais amplifiés par une technologie de rajeunissement de pointe qui promet de redonner au magicien toute sa splendeur de l’époque de La Communauté de l’Anneau, sans que le temps n’ait laissé la moindre trace.
Peter Jackson, le visionnaire aux 17 Oscars remportés par la trilogie originale, revient à la production aux côtés de Fran Walsh et Philippa Boyens, le trio qui a co-écrit les scénarios ayant rapporté près de 3 milliards de dollars à travers le monde. Leur participation garantit que La Chasse à Gollum reste fidèle aux appendices de Tolkien, relatant la période entre l’anniversaire de Bilbon et la formation de la Communauté, lorsque Gandalf charge Aragorn de capturer Gollum, craignant que ses murmures n’alertent Sauron sur la présence de l’Anneau dans la Comté.
La sortie du film, prévue pour 2026 et provisoirement programmée pour décembre afin de surfer sur la vague de nostalgie des fêtes, marque le grand retour du Seigneur des Anneaux en prises de vues réelles depuis La Bataille des Cinq Armées du Hobbit en 2014. Après une décennie d’attente, les fans ont pu se divertir avec la série Rings of Power de Prime Video, qui a attiré 25 millions de téléspectateurs lors de sa première semaine malgré des critiques mitigées. Fort du succès de son film d’animation La Guerre des Rohirrim, sorti plus tôt cette année avec 20 millions de dollars de recettes, Warner Bros. voit en La Chasse à Gollum un véritable renouveau pour la franchise. Le studio disposerait d’un budget de 200 millions de dollars, mêlant décors réels tournés dans les Fiordland néo-zélandais et les dernières innovations en matière de capture de mouvement de Weta Workshop.
Le tournage débutera en mai 2026. Des fuites révèlent un scénario signé Boyens, Walsh et les nouveaux venus Phoebe Gittins et Arty Papageorgiou, qui ont insufflé une nouvelle énergie aux Rohirrim. Fort de son succès à la réalisation de La Planète des Singes, Serkis imagine un thriller centré sur Gollum, humanisant le tourment de la créature et intégrant des apparitions de personnages de La Communauté de l’Anneau. On pourrait même y voir Frodon (Elijah Wood) dans des séquences d’introduction narrées depuis les Havres Gris, liant ainsi ce préquel au cœur émotionnel de la trilogie.
Le séisme hollywoodien a commencé avec les fuites apparues sur des forums anonymes comme 4chan, avant d’exploser sur le subreddit r/lotr de Reddit. Des discussions ont cumulé jusqu’à 50 000 votes positifs, débattant du choix entre des nouveaux acteurs et le retour des précédents. Les utilisateurs louaient l’élégance intemporelle de Bloom et l’authenticité de Mortensen, y voyant une garantie contre les écueils du rajeunissement numérique qui avaient nui à Indiana Jones et le Cadran du Destin. Twitter – désormais X – s’est enflammé avec le hashtag #MiddleEarthReturns, devenu viral dans le monde entier. Les fans ont retouché des photos du trio pour les intégrer à des illustrations conceptuelles de forêts enveloppées de brume. Leur enthousiasme était toutefois tempéré par des inquiétudes concernant la santé de McKellen après ses récents succès sur scène dans Player Kings.
La magie intemporelle de la trilogie originale réside dans l’alchimie de son ensemble d’acteurs, où le Legolas éthéré de Bloom contrebalançait l’Aragorn ancré dans la réalité de Mortensen et le Gandalf tout aussi éthéré de McKellen. Leurs liens à l’écran se sont forgés lors d’une immersion de dix-huit mois en Nouvelle-Zélande, donnant naissance à des amitiés indéfectibles. Bloom, qui a un jour surfé avec Jackson entre les prises, considère ce rôle comme le tremplin de sa carrière après Le Seigneur des Anneaux, tandis que l’immersion totale de Mortensen – apprenant les dialectes elfiques et maniant un Andúril fait main – lui a valu un culte auprès des puristes de Tolkien, qui réclament désormais que son inflexible rôdeur soit au cœur de la nouvelle histoire.
Le Gandalf de McKellen, rôle qu’il a repris dans cinq films et qui compte également des apparitions dans Le Hobbit, incarne à merveille le mélange de fantaisie et de sagesse cher à Tolkien. Son autorité, empreinte de puissance et de force, masque une étincelle que Serkis cherche à recréer lors des interrogatoires intimistes de Gollum, évoquant peut-être la confrontation avec le Balrog dans les Mines de la Moria, mais transposée à l’échelle d’un duel psychologique en tête-à-tête. Des fuites laissent entrevoir un univers étendu, notamment les salles de Thranduil où Legolas sollicite les conseils de son père – dont le retour est pressenti, interprété par Lee Pace – ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux intrigues elfiques de la chasse.
Alors que Warner Bros. s’efforce de contenir les fuites, ses dirigeants mettent en avant la fidélité du film comme un baume pour les détracteurs de « L’Anneau du Pouvoir », promettant l’absence de toute modification de la chronologie ou d’intrigues secondaires inventées : seulement les appendices bruts de Tolkien sublimés par la poésie visuelle de Jackson. Le détail du budget révèle 80 millions de dollars pour les seuls effets visuels, Weta ayant recréé la silhouette émaciée de Gollum grâce à la capture de mouvement assistée par IA, que Serkis a testée sur Bloom lors d’une démonstration virtuelle de tir à l’arc elfique, garantissant ainsi la précision gracieuse des flèches de Legolas.
Les théories des fans pullulent comme les ents à Fangorn, spéculant sur le croisement entre la chasse d’Aragorn et les délibérations du Conseil Blanc de Gandalf, Legolas en reconnaissance du haut des arbres tandis que Gollum se faufile dans les marais – un nœud narratif qui pourrait se dénouer en une saga en deux films, comme McKellen l’a laissé entendre avec humour. Le retour potentiel de Mortensen pose des défis logistiques – ses 67 ans contre la trentaine d’Aragorn, âge mûr – mais la technologie de rajeunissement, perfectionnée depuis The Irishman, offre un rajeunissement imperceptible, permettant à la barbe grisonnante du rôdeur de se transformer en une barbe naissante de l’époque de La Communauté de l’Anneau sans l’écueil de la vallée de l’étrange.
L’invitation faite à Bloom pour le rôle de Legolas intervient en pleine renaissance post-Pirates des Caraïbes. Son rôle d’ambassadeur des Nations Unies pour la conservation de la faune sauvage a inspiré des modifications du scénario : l’elfe vient en aide aux animaux de la forêt déplacés, un fil conducteur écologique subtil qui tisse l’écologisme de Tolkien dans une perspective moderne. Dans des notes de réalisation qui ont fuité, Serkis imagine Legolas comme l’antithèse improbable de Gollum, l’immortalité de l’elfe contrastant avec la longévité maudite de la créature dans des échanges poignants qui humanisent les deux personnages, puisant dans les réflexions de Bloom sur la fugacité de la célébrité.
Les discussions concernant le retour de McKellen, confirmées par des fuites via des notes internes de Warner, portent notamment sur des modifications du scénario afin de tenir compte de sa mobilité. Les vols de Gandalf à l’aigle seront assurés par des doublures et des effets spéciaux pratiques, préservant ainsi la stature du magicien sans altérer sa présence éthérée. À 86 ans, le retour de McKellen symbolise l’attrait intemporel de la trilogie, son Gandalf faisant le lien entre les générations et guidant les jeunes acteurs, comme un potentiel remplaçant pour le rôle de Frodon ou de nouveaux éclaireurs hobbits, dans une quête qui s’étend de l’Emyn Muil aux profondeurs de la Forêt Noire.
En 2026, « La Chasse à Gollum » se retrouve confrontée aux mastodontes de la Phase Sept de Marvel et au reboot de Superman par DC, mais l’attrait de Tolkien reste inégalé : les ressorties de la trilogie originale ont rapporté à elles seules 100 millions de dollars l’an dernier grâce aux restaurations 4K. La stratégie de Warner mise sur la nostalgie, en distillant des apparitions de Sam (Sean Astin) ou de Gimli (John Rhys-Davies) dans des scènes post-générique, tissant ainsi un univers cinématographique qui pourrait donner naissance à une quadrilogie préquelle.
Des plans de décors divulgués révèlent un Cul-de-Sac repensé pour le tournage des scènes, avec Frodon (interprété par Elijah Wood – dont la narration est confirmée) racontant le prélude de la chasse depuis son exil, sa voix off empreinte de mélancolie touchant profondément les fans. Si le rôle d’Aragorn, interprété par Mortensen, est confirmé, le tournage de séquences clés se déroulerait dans les fjords du Fiordland, son cheval galopant à travers des vallées enveloppées de brume, évoquant l’ampleur épique de la trilogie avec un budget plus restreint, axé sur les personnages.

Les oreilles elfiques de Bloom, retravaillées grâce aux progrès du silicone depuis l’époque du Hobbit, promettent des prises de vue sans inconfort, permettant à son Legolas d’effectuer des acrobaties par-dessus les pièges de Gollum dans des séquences mêlant effets de câbles et aperçus de l’Unreal Engine. La réalisation de Serkis, inspirée par son interprétation de César dans La Planète des Singes, met l’accent sur l’intimité de la capture de performance, saisissant des micro-expressions qui rendent l’obsession « précieuse » de Gollum si profondément tragique.
Les consultations de Gandalf (interprété par McKellen) avec les seigneurs elfes pourraient inclure Elrond (incarné par Hugo Weaving) lors de briefings holographiques, un clin d’œil technologique aux salles intemporelles de Fondcombe, tout en respectant la réticence de l’acteur à obtenir un retour complet. L’authenticité des fuites, vérifiée par des documents Warner portant un filigrane, a fait bondir le cours de l’action du géant du divertissement de 5 %, soulignant le pouvoir d’attraction de la Terre du Milieu au box-office, qui surpasse même les suites de Star Wars.
Alors que les négociations s’intensifient, les agents du trio se réunissent dans les salles de réunion de Burbank. Les scénarios, encore incomplets, regorgent de promesses : des intrigues qui rachètent le pathétique de Gollum sans pour autant atténuer la menace grandissante de Sauron. Les fans, des conventions de cosplay aux marathons en ligne, réclament une chasse fidèle, leur passion formant une véritable communauté que Jackson canalise comme la lame reforgée d’Andúril.
Les répercussions se font sentir jusque dans les secteurs du merchandising : des figurines Funko Pop d’Aragorn rajeuni sont déjà en phase de prototypage, et Hasbro relance des coffrets de tir à l’arc pour elfes à l’effigie de Bloom, un raz-de-marée commercial qui pourrait atteindre 500 millions de dollars avant même la sortie de l’œuvre. Les ayants droit de Tolkien, gardiens de l’univers de Gollum, ont donné leur feu vert au projet, sous réserve de certaines conditions d’authenticité, afin de garantir que la vision de Serkis respecte la profondeur linguistique du professeur dans les dialogues fragmentés de Gollum.
L’intérêt de Mortensen, révélé lors d’un déjeuner avec Boyens après une audition, repose sur une résonance thématique : la chasse du rôdeur fait écho à son propre parcours, de l’anonymat indépendant à la célébrité, une dimension métaphorique qui enrichit la veillée solitaire d’Aragorn. Bloom, qui concilie paternité et militantisme, voit en Legolas un retour aux sources, l’immortalité de son elfe une métaphore de l’héritage durable dans un secteur éphémère.
Le Gandalf de McKellen, véritable boussole morale de la saga, pourrait explorer les origines des Istari esquissées dans Les Anneaux du Pouvoir, ses prouesses techniques dissimulant de profonds mystères des Maiar que Serkis amplifie grâce à des effets visuels jouant sur les ombres. L’horizon de 2026 s’annonce prometteur, une quête qui captivera non seulement Gollum, mais aussi le cœur de toute une génération bercée par les chefs-d’œuvre de Jackson.
Hollywood se prépare à l’engouement suscité par la première, les cinémas programmant des marathons combinant La Chasse et les remasters de La Communauté de l’Anneau, un festin nostalgique qui pourrait bien éclipser le séisme culturel qu’a connu Barbie. Alors que les fuites se transforment en rumeurs confirmées, l’appel de la Terre du Milieu se révèle irrésistible, ramenant Bloom, Mortensen et McKellen à la source même des légendes.
La musique du film, murmure-t-on, réunit Howard Shore et des chœurs éthérés ; ses motifs s’amplifient tandis que Legolas décoche ses flèches dans la nuit, que le thème d’Aragorn résonne à cheval et que le leitmotiv de Gandalf scintille comme des étoiles lointaines. Le Gollum de Serkis, anti-héros tragique, lance des supplications déchirantes, sa traque prélude au chant envoûtant de l’Anneau.
Partout dans le monde, des randonneurs néo-zélandais aux amateurs de pubs d’Oxford, les fans célèbrent le retour de la saga avec une bière, leurs forums s’enflammant de fanfictions comblant les lacunes de la franchise. Le pari de Warner sur des œuvres originales plutôt que sur des remakes confirme la magie de la trilogie, nous rappelant que la véritable magie réside dans la continuité, et non dans la réinvention.
Alors que les caméras tournent en 2026, la stupeur cède la place à l’admiration : Legolas (Bloom) bondit de branche en branche, Aragorn (Mortensen) trace des chemins inexplorés, Gandalf (McKellen) murmure des destins encore à écrire. La Chasse à Gollum n’est pas une simple suite ; c’est une renaissance, une fraternité renouvelée qui promet d’inscrire l’année 2026 dans les annales éternelles de Tolkien.