OFFICIEL 🚨 La FIFA ouvre une enquête sur l’arbitre Rade Obrenovič, accusé d’avoir manipulé le résultat lié au carton rouge « controversé » d’Emerson Palmieri lors de la défaite 1-2 de Marseille face au Sporting. L’entraîneur Roberto De Zerbi a immédiatement réagi…

L’annonce a fait l’effet d’une bombe dans le monde du football international. La FIFA a officiellement ouvert une enquête sur l’arbitre slovène Rade ObrenoviÄŤ, accusé d’avoir manipulé le résultat du match entre l’Olympique de Marseille et le Sporting CP, soldé par la défaite 1-2 du club français. Au cœur de la polémique : le carton rouge jugé « gianlant » adressé à Emerson Palmieri, un tournant qui aurait totalement modifié le cours de la rencontre.

Tout a commencé à la 43e minute, alors que Marseille dominait le jeu et menait au score. Emerson Palmieri, jusque-là l’un des joueurs les plus actifs sur le couloir gauche, a été sanctionné d’un second carton jaune pour une faute jugée contestable. L’arbitre ObrenoviÄŤ, après un rapide recours à la VAR, a confirmé sa décision et expulsé le défenseur italien-brésilien sous les protestations véhémentes des joueurs marseillais. Réduits à dix, les Phocéens ont vu le match leur échapper progressivement avant de s’incliner.

Ce qui aurait pu rester un simple incident d’arbitrage s’est transformé en scandale planétaire. Selon les informations révélées en interne, plusieurs incohérences auraient été relevées dans le rapport d’arbitrage, notamment sur la justification du second avertissement. La FIFA, alertée par la commission d’éthique et plusieurs fédérations nationales, a décidé d’ouvrir une enquête formelle afin de déterminer si Rade ObrenoviÄŤ aurait volontairement influencé le résultat du match.

Les premiers éléments de l’enquête indiqueraient que certaines décisions prises au cours de la rencontre ne respectaient pas les protocoles établis par la VAR et les directives de la commission d’arbitrage. La rapidité inhabituelle de la révision vidéo, l’absence de consultation prolongée des images et la communication confuse entre l’arbitre central et ses assistants auraient attiré l’attention des instances internationales.

Du côté de Marseille, la réaction a été immédiate. Roberto De Zerbi, visiblement furieux après le coup de sifflet final, a exprimé publiquement son indignation. L’entraîneur italien a dénoncé une « atteinte grave à l’intégrité du jeu » et a exigé des explications claires de la part des autorités compétentes. Selon plusieurs témoins présents dans les couloirs du stade, De Zerbi aurait tenu une réunion d’urgence avec ses dirigeants dès la fin du match, avant de transmettre une plainte officielle à la FIFA.

L’affaire dépasse désormais le simple cadre sportif. Pour de nombreux observateurs, si les accusations s’avèrent fondées, il s’agirait d’un des plus grands scandales d’arbitrage de la décennie. Le dossier pourrait conduire à des sanctions exemplaires, allant de la suspension à vie de l’arbitre concerné jusqu’à la révision du résultat du match. Certains évoquent même la possibilité de revoir le système de désignation des arbitres pour les compétitions européennes, afin de renforcer la transparence et la traçabilité des décisions.

Les supporters marseillais, quant à eux, ne décolèrent pas. Depuis l’annonce de l’enquête, les réseaux sociaux du club sont inondés de messages de colère et d’incompréhension. Pour eux, cette expulsion injustifiée a coûté bien plus qu’un simple match : elle a brisé un élan, un espoir, et peut-être même une qualification. Le sentiment d’avoir été « volés » anime aujourd’hui toute une ville qui attend des réponses et réclame justice.

Roberto De Zerbi, fidèle à son tempérament combatif, a choisi de transformer la frustration en motivation. Lors de l’entraînement suivant, il aurait tenu un discours enflammé devant ses joueurs, les exhortant à « répondre sur le terrain » et à ne pas laisser cette affaire déstabiliser leur saison. Son attitude déterminée a été saluée par les cadres de l’équipe, qui voient en lui un leader prêt à défendre son groupe coûte que coûte.

Pendant ce temps, la FIFA poursuit ses investigations. Les arbitres assistants, les responsables de la VAR et plusieurs membres du corps arbitral européen devraient être entendus dans les prochains jours. Les conclusions de cette enquête sont attendues avec fébrilité, car elles pourraient bouleverser l’équilibre fragile entre confiance et suspicion dans le football moderne.

En attendant, une chose est certaine : l’affaire ObrenoviÄŤ restera gravée dans les mémoires. Elle met en lumière les dérives potentielles d’un système censé garantir l’équité et rappelle que, même au plus haut niveau, le sport roi n’est jamais à l’abri de l’erreur humaine — ou pire, de la manipulation. Pour Marseille, ce n’est plus seulement une défaite, c’est une question d’honneur. Et pour la FIFA, une épreuve cruciale de crédibilité.

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