« MARSEILLE, UNE PRISON DÉGUISÉE SOUS UN MAILLOT BLEU. QUITTER MARSEILLE A ÉTÉ LA DÉCISION LA PLUS JUSTE DE MA CARRIÈRE. » Après plusieurs mois d’exclusion du groupe marseillais, Adrien Rabiot brise enfin le silence et dénonce « l’atmosphère artificielle » qui règne au sein de l’OM, affirmant avoir été transformé en bouc émissaire par Roberto De Zerbi dans une crise dont il n’est pas responsable. Immédiatement, Pierre-Emile Højbjerg s’emporte et révèle le « sale secret » que « le tyran » tentait de dissimuler depuis des mois : « C’EST RIDICULE DE LE VOIR ESSAYER DE SE FAIRE PASSER POUR UN SAINT… »

« MARSEILLE, UNE PRISON DÉGUISÉE SOUS UN MAILLOT BLEU. QUITTER MARSEILLE A ÉTÉ LA DÉCISION LA PLUS JUSTE DE MA CARRIÈRE. » Après plusieurs mois de silence et d’incertitude, Adrien Rabiot sort enfin de l’ombre pour livrer un témoignage explosif sur son passage à l’Olympique de Marseille. Dans une interview exclusive accordée à un média français, le milieu de terrain n’a pas mâché ses mots. Selon lui, le club phocéen serait « une prison déguisée sous un maillot bleu », où la liberté d’expression, la sincérité et la cohésion du groupe seraient étouffées par « une hiérarchie toxique et des jeux de pouvoir ».

Rabiot explique qu’il a été progressivement mis à l’écart après avoir remis en question certaines décisions tactiques de Roberto De Zerbi. « J’ai essayé de donner mon avis comme le ferait n’importe quel professionnel expérimenté, mais cela a été perçu comme un acte de rébellion. Très vite, je suis devenu le bouc émissaire d’une crise dont je n’étais pas responsable », a-t-il confié. Le joueur décrit un environnement où la communication interne serait dominée par la peur et les rivalités internes, loin de l’esprit collectif que le club affiche publiquement.

Les propos du milieu français ont immédiatement provoqué un séisme médiatique. Plusieurs anciens coéquipiers ont préféré garder le silence, mais certains, sous couvert d’anonymat, ont reconnu « une part de vérité » dans ses déclarations. « L’ambiance était tendue, et il y avait clairement des clans », a déclaré une source proche du vestiaire.

Cependant, la réaction la plus marquante est venue de Pierre-Emile Højbjerg, un autre joueur passé par Marseille, qui n’a pas tardé à réagir sur les réseaux sociaux. Dans une publication enflammée, le Danois a dénoncé « les mensonges hypocrites d’un entraîneur qui joue la victime alors qu’il manipule tout le monde ». Højbjerg a ajouté : « C’est ridicule de le voir essayer de se faire passer pour un saint alors qu’il détruit la carrière de joueurs honnêtes. » Ses mots ont rapidement fait le tour des médias, ravivant les débats sur la gestion interne du club.

De Zerbi, de son côté, n’a pas encore réagi officiellement, mais une source au sein de l’OM affirme que « le coach reste concentré sur le projet sportif et ne souhaite pas alimenter la polémique ». Néanmoins, l’affaire révèle des fractures profondes au sein du club, déjà secoué par des résultats irréguliers et des tensions entre direction et vestiaire.

Pour beaucoup d’observateurs, cette crise met en lumière les difficultés structurelles de Marseille à gérer la pression médiatique et la complexité de son environnement. Le club, symbole de passion populaire et d’instabilité chronique, semble une fois de plus rattrapé par ses démons internes.

Quant à Adrien Rabiot, il assure qu’il ne nourrit aucune rancune, mais qu’il ne refermera pas les yeux sur ce qu’il a vécu. « Quitter Marseille a été la décision la plus juste de ma carrière. J’ai retrouvé ma liberté, mon plaisir de jouer, et surtout, ma dignité », conclut-il.

Son témoignage, à la fois lucide et amer, pourrait bien marquer un tournant dans la perception du club et dans la carrière d’un joueur souvent jugé pour son caractère. Mais cette fois, Rabiot semble décidé à faire entendre sa vérité — celle d’un homme qui, derrière les apparences, a vécu Marseille comme une prison aux murs peints en bleu.

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