L’affirmation « les vérités qui existent dans les films sont réelles dans la vie, si réelles qu’on a du mal à croire qu’elles existent dans ce monde » est une affirmation vaste et stimulante qui peut être explorée sous différents angles. Si les films sont avant tout des œuvres de fiction, ils s’inspirent souvent d’événements, de personnes et de phénomènes scientifiques réels, repoussant parfois les limites du plausible. Cela peut conduire à des moments où la réalité dépasse la fiction.
Cette affirmation trouve notamment sa justesse dans l’exploration d’expériences et de comportements humains extrêmes. Les films dépeignent souvent des actes d’héroïsme incroyables, une méchanceté profonde et une résilience incroyable. Si les pouvoirs d’un super-héros sont fictifs, la capacité humaine sous-jacente au sacrifice, la complexité psychologique d’un cerveau criminel ou la détermination de quelqu’un qui surmonte un obstacle apparemment insurmontable sont bien réelles. Les histoires de survie contre toute attente, comme celles d’Aron Ralston dans 127 heures ou des passagers du vol 93, prouvent que les moments les plus dramatiques et les plus incroyables du drame humain à l’écran sont souvent ancrés dans des faits réels.
Une autre dimension est l’existence surprenante de phénomènes naturels uniques et étranges. Un film peut présenter un paysage étrange, un animal étrange ou un phénomène météorologique inhabituel que le public pourrait considérer comme de la pure fantaisie. Pourtant, la nature regorge de telles merveilles. Par exemple, les forêts bioluminescentes d’ Avatar ne sont pas si différentes de phénomènes réels comme les champignons lumineux ou les lucioles. De même, un film de fiction sur un événement atmosphérique rare peut refléter des phénomènes réels comme des nuages lenticulaires, des éclairs volcaniques ou des colonnes de lumière, qui peuvent sembler surnaturels, mais s’expliquent scientifiquement. La frontière entre le spectacle cinématographique et l’étrange beauté de la nature est souvent floue.