Albert Einstein, physicien emblématique à l’origine de la théorie de la relativité, a vécu une vie personnelle aussi complexe que ses équations. Son mariage avec Elsa Einstein, sa cousine germaine et seconde épouse, fut un mélange de dévouement et de scandale, marqué par les fréquentes liaisons d’Albert et la loyauté indéfectible d’Elsa. Du soin qu’il reçut pendant sa maladie en 1917 à sa protection contre l’antisémitisme en 1933, Elsa resta sa protectrice indéfectible jusqu’à sa mort en 1936. Pourtant, leur union, compliquée par l’infidélité d’Albert et ses opinions non conventionnelles sur la monogamie, révèle une facette étonnamment humaine du génie. Cette analyse se penche sur sa relation de cousine devenue épouse, les bouleversements de leur mariage et leurs conséquences durables, offrant un récit captivant aux lecteurs de Facebook avides de drames historiques.

Elsa Einstein avec son mari, Albert Einstein.
La connexion cousine : une histoire d’amour compliquée
Elsa Einstein, née le 18 janvier 1876, partageait avec Albert plus qu’un nom de famille ; ils étaient cousins germains, leurs pères étaient apparentés et sa mère était sœur. Ayant grandi ensemble, leur lien devint romantique plus tard. Elsa épousa Max Lowenthal en 1896, et Albert épousa Mileva Marić en 1903, mais leurs deux mariages furent brisés. En 1912, la relation d’Albert avec Marić s’était refroidie, comme en témoignent des lettres (publiées par le New York Times dans le testament de Margot Einstein ), où il exigeait qu’elle garde leur foyer sans affection, déclarant : « Vous n’attendrez pas d’affection de ma part. »

Albert Einstein avec sa première femme, Mileva Marić, en 1912.
Le déménagement d’Albert à Berlin en 1914, où vivait Elsa, fut le point de départ de leur histoire d’amour. Après le divorce d’Elsa en 1908 et le départ de Marić avec leurs enfants, Elsa devint l’hôte d’Albert, prenant soin de lui pendant sa maladie en 1917. Ils se marièrent en 1919, mais les réticences d’Albert transparurent dans une lettre de 1915, où il attribuait la pression familiale à la situation. Étonnamment, il envisagea d’épouser Ilse, la fille d’Elsa, qui le rejeta en 1919, écrivant : « Je suis très malheureux », selon les archives historiques. Les réseaux sociaux bourdonnèrent de ce revirement, avec des publications telles que « Einstein et son cousin ? Fous ! » et « Ilse a esquivé une balle. »
Un mariage entaché d’infidélité
Le mépris affiché d’Albert pour la monogamie a marqué son mariage. Il a entretenu des relations avec des femmes comme Ethel Michanowski, l’amie d’Elsa, les justifiant par un plaisir inoffensif, selon National Geographic . Il qualifiait la monogamie de « fruit amer », une position qu’Elsa tolérait. Elle a soutenu Albert tout au long de sa célébrité mondiale, l’accompagnant lors de voyages comme celui au Japon en 1922, et l’a protégé lorsque l’antisémitisme a augmenté en Allemagne, ce qui a conduit à son installation à Princeton en 1933. Là, Albert a enseigné à l’Institute for Advanced Study, tandis qu’Elsa gérait sa vie.

Elsa et Albert Einstein lors d’un voyage au Japon en 1922.
La loyauté d’Elsa fut mise à rude épreuve. En 1934, elle perdit Ilse, emportée par la tuberculose, et en 1935, sa propre santé déclina, marquée par des problèmes cardiaques et hépatiques. Albert, accablé par son travail, devint distant, comme le note son biographe Walter Isaacson dans Einstein : sa vie et son univers . Cependant, Elsa affirma que l’inquiétude d’un ami, Albert, témoignait d’un profond amour : « Je n’aurais jamais cru qu’il m’aimait autant. » Les fans de Facebook en débattent, avec des commentaires tels que « Elsa était trop bien pour lui » et « Comment a-t-elle pu rester avec un infidèle ? »
La mort d’Elsa et le deuil complexe d’Albert
La mort d’Elsa, le 20 décembre 1936 à Princeton, bouleversa Albert. Son ami Peter Bucky le vit pleurer pour la première fois, et Albert écrivit en 1938 : « Je n’aimerais pas continuer à vivre si je n’avais pas mon travail. » En 1952, il plaisantait avec un ami sur le fait d’avoir survécu à « deux épouses » et à l’ère nazie, révélant un ton plus léger et plus détaché avant sa mort en 1955. X publications illustrent cette dualité : « Les larmes d’Einstein pour Elsa étaient réelles » et « sa blague sur les “deux épouses” est froide. » La mort d’Elsa laissa un vide, mais le repli d’Albert sur la science mit en lumière sa complexité émotionnelle.
Implications stratégiques pour l’héritage d’Einstein

Elsa et Albert Einstein en 1923.
Le rôle d’Elsa en tant que protectrice d’Albert a préservé son image publique, lui permettant d’accomplir des exploits comme son prix Nobel en 1921. Sa tolérance à l’égard de ses liaisons a assuré sa stabilité, mais les révélations de son infidélité, dans des lettres publiées après la mort de Margot, ont terni son héritage. Les réseaux sociaux reflètent cette tension, avec des commentaires de X tels que « Le génie d’Einstein n’excuse pas son comportement » et « Le sacrifice d’Elsa a fait sa carrière ». Leur mariage souligne le coût personnel de la grandeur scientifique, alimentant les débats sur l’éthique et le dévouement.