Lors de la confrontation intense entre l’Atlético de Madrid et le Paris Saint-Germain hier soir, un joueur parisien a littéralement ébloui la rencontre, au point de forcer le respect du capitaine colchonero Antoine Griezmann.

À la sortie du match, Griezmann n’a pas mâché ses mots :
« Depuis mon arrivée à l’Atlético Madrid, je ne m’étais jamais retrouvé face à un joueur aussi talentueux que lui. Il nous a posé énormément de problèmes ; même si nous avons joué du mieux possible, il ne nous a laissé aucune chance de gagner. »
Cette déclaration forte a immédiatement enflammé les réseaux sociaux. Les spéculations allaient bon train : s’agissait-il de Dembélé, ancien coéquipier de Griezmann en équipe de France ? Ou de Désiré Doué, la nouvelle pépite montante du PSG ?
La réponse est non. L’hommage était en réalité destiné à un autre joueur parisien, dont la performance infatigable a marqué tous les esprits.
D’après des sources proches du vestiaire madrilène, il s’agirait de Warren Zaïre-Emery, le jeune milieu de terrain du PSG. À seulement 18 ans, le joueur formé au club a livré une prestation exceptionnelle, alliant intensité, vision de jeu et maturité technique, au point d’étouffer le milieu de terrain de l’Atlético.
Le PSG s’est imposé 3-1 dans un match dominé tactiquement par les hommes de Luis Enrique. Et si Mbappé ou Hakimi ont brillé, c’est bien la solidité et l’intelligence de jeu de Zaïre-Emery qui ont attiré l’attention de Griezmann.
Sur les plateaux télévisés et les plateformes sportives, les analystes saluent une prestation « de patron », rappelant que Zaïre-Emery n’est pas seulement un espoir, mais déjà une pièce maîtresse du PSG.

Le jeune Français, de son côté, est resté humble :
« Je me donne toujours à 100 % pour aider l’équipe. L’important, c’est la victoire collective. »
Avec ce genre de performance, le PSG peut envisager l’avenir avec sérénité, et ses adversaires n’ont qu’à bien se préparer. Une chose est sûre : quand un joueur comme Griezmann rend hommage de cette manière, c’est que le football français tient là un futur grand.