« JE NE VEUX PLUS LE VOIR À MARSEILLE » L’entraîneur de l’Olympique de Marseille, Roberto De Zerbi, a violemment critiqué un joueur clé, affirmant que c’est lui qui est directement responsable de la perte de moral et des défaites consécutives de l’équipe. Mais De Zerbi ne s’est pas arrêté là : il exige que la direction vende ce joueur lors du prochain mercato hivernal, et la raison qu’il avance a surpris tout le monde et soulève de grandes interrogations…

L’Olympique de Marseille traverse une tempête sans précédent depuis les déclarations explosives de Roberto De Zerbi. L’entraîneur italien, connu pour son exigence et sa franchise, a provoqué un véritable séisme médiatique en ciblant un joueur clé de son effectif après la dernière contre-performance du club. Son ton, glacial et sans détour, a immédiatement fait le tour des médias : « Je ne veux plus le voir à Marseille. » Une phrase lourde de sens, qui semble marquer la fin d’une histoire déjà fragilisée depuis plusieurs semaines.

Selon plusieurs sources proches du vestiaire, cette sortie ne serait pas une simple réaction à chaud. De Zerbi aurait exprimé, en interne, une perte totale de confiance envers le joueur concerné, estimant que son attitude et ses performances récentes nuisent à la cohésion du groupe. Dans les derniers matchs, l’entraîneur aurait remarqué un manque flagrant d’implication, une forme d’isolement, voire de désintérêt pour les efforts collectifs. Des détails qui, mis bout à bout, auraient fini par faire déborder le vase.

« Je veux des joueurs qui jouent pour le maillot, pas pour leur image », aurait ajouté De Zerbi devant ses adjoints, selon un témoin. Derrière ces mots, difficile de ne pas reconnaître une pique à l’un des talents offensifs les plus médiatisés du club. L’entraîneur estime que ce joueur, malgré son immense potentiel, est devenu un poids pour l’équipe. Son individualisme, ses réactions d’humeur et son incapacité à s’intégrer pleinement dans le projet collectif auraient profondément agacé le technicien italien, qui voit en lui une source de déséquilibre psychologique et tactique.

Le joueur en question, arrivé à Marseille avec une aura particulière et une réputation déjà bien établie en Angleterre, était censé incarner un renouveau offensif pour l’équipe. Ses débuts avaient d’ailleurs suscité un immense espoir auprès des supporters, impressionnés par sa technique et son instinct devant le but. Mais au fil des semaines, la magie a semblé s’estomper. Les prestations se sont faites plus irrégulières, le langage corporel plus fermé, et les tensions avec certains coéquipiers ont commencé à filtrer dans la presse.

De Zerbi, qui prône un football collectif et intense, aurait très mal vécu certaines attitudes jugées arrogantes, notamment lors des entraînements. Un membre du staff raconte : « Il n’écoutait plus vraiment. Il faisait le strict minimum, parfois avec un air de provocation. » Des comportements qui, dans une équipe déjà sous pression, ne pouvaient que miner la dynamique du groupe.

Ce qui choque encore plus, c’est la radicalité de la décision de De Zerbi. En demandant à la direction de vendre le joueur dès le prochain mercato hivernal, l’entraîneur envoie un signal clair : aucune star, aucun nom, aussi prestigieux soit-il, n’est au-dessus de l’équipe. Cette fermeté a surpris jusque dans les couloirs du centre Robert Louis-Dreyfus, où certains cadres du club s’inquiètent déjà des répercussions médiatiques et sportives d’un tel choix.

Pour l’instant, la direction de l’OM garde le silence. Officiellement, aucun nom n’a été mentionné, mais les rumeurs enflent. Dans les tribunes comme sur les réseaux sociaux, les supporters tentent de deviner qui est visé par cette déclaration fracassante. Certains défendent l’entraîneur, estimant qu’il faut une ligne de conduite stricte pour restaurer l’identité du club ; d’autres, au contraire, redoutent qu’une telle rupture ne fragilise encore davantage un vestiaire déjà instable.

Quant au principal intéressé, il n’a pas réagi publiquement. Mais plusieurs médias britanniques affirment qu’il se sentirait « incompris » et « mal soutenu » par son entraîneur. Il songerait même à un départ dès janvier, séduit par l’idée d’un retour dans un championnat où il se sent « plus à sa place ». De Zerbi, lui, semble avoir tourné la page. Sa dernière phrase, prononcée avec un calme glacial, résume toute la tension du moment : « À Marseille, il n’y a pas de place pour ceux qui ne respectent pas le maillot. »

Cette affaire, au-delà du simple conflit entre un joueur et son entraîneur, symbolise un tournant pour l’OM. Roberto De Zerbi veut imposer une culture de rigueur et de mérite, quitte à se séparer de profils talentueux mais instables. Les semaines à venir s’annoncent décisives : entre la pression du calendrier, le regard des supporters et la gestion du mercato, Marseille devra choisir entre préserver la paix interne ou assumer un choix fort, celui de suivre son entraîneur jusqu’au bout — même si cela signifie dire adieu à l’un de ses joueurs les plus doués.

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