IL Y A 5 MINUTES : La FIA INTERDIT « L’arme secrète » des meilleures équipes – Le Grand Prix d’Espagne est dans le chaos total ! La course au titre est truquée !?
Dans une décision choc qui a provoqué une onde de choc dans le monde de la Formule 1, la FIA a officiellement interdit un système controversé d’amélioration des performances utilisé par plusieurs équipes de pointe, quelques jours avant le Grand Prix d’Espagne. Cette décision inattendue a été rendue à la suite d’une réunion d’urgence entre les délégués techniques de la FIA et les représentants des équipes, au cours de laquelle les allégations d’avantage déloyal ont pris de l’ampleur. En conséquence, le Grand Prix d’Espagne est désormais au bord du chaos, les équipes s’efforçant de revoir les réglages des voitures et les fans s’interrogeant sur l’intégrité de la course au titre de cette année.
Selon des sources internes, ce système interdit – surnommé « l’arme secrète » dans le paddock – serait lié à un algorithme avancé de déploiement d’énergie intégré aux moteurs hybrides d’au moins deux équipes en lice pour le titre. Bien qu’aucun nom officiel d’équipe n’ait été confirmé par la FIA, les spéculations pointent fortement vers Mercedes et Red Bull comme les principaux utilisateurs de cette technologie désormais interdite. Ce système aurait permis des micro-explosions précises d’énergie électrique en sortie de virage, procurant aux pilotes un avantage décisif en accélération sans dépasser les limites théoriques de débit ou de déploiement de carburant.
La FIA a officiellement déclaré que le système violait « l’esprit du règlement », même s’il ne contrevenait directement à aucune règle écrite existante. Les critiques affirment que cette application floue est empreinte d’incohérence, tandis que les partisans de l’interdiction insistent sur le fait que l’innovation doit être fondée sur l’équité. Les équipes n’utilisant pas cette technologie craignaient depuis longtemps que les écarts de temps au tour deviennent trop suspects pour être ignorés, notamment dans les secteurs où l’impact du système interdit était le plus important.
Les conséquences sont immédiates et dramatiques. Les ingénieurs des équipes concernées ont été vus travailler 24 heures sur 24 à Barcelone, supprimant des composants logiciels de leurs moteurs et recalibrant entièrement les stratégies de course. Plusieurs personnalités clés, dont Christian Horner (Red Bull) et Toto Wolff (Mercedes), se sont exprimées publiquement, critiquant le timing et le manque de transparence de la FIA. Horner a qualifié cette décision de « motivée politiquement », tandis que Wolff a mis en garde contre des « effets dévastateurs » sur l’équilibre de la compétition.
Les pilotes sont tout aussi ébranlés. Max Verstappen, leader du championnat, a admis que la voiture « semble être une bête complètement différente » sans le système. De son côté, Lewis Hamilton a refusé de confirmer si Mercedes utilisait cette fonctionnalité interdite, mais a laissé entendre que « beaucoup de gens vont perdre ce week-end ». La tension est palpable et le paddock est en proie à l’incertitude.
Au-delà du drame technique, cette interdiction soulève des questions plus profondes quant à la légitimité de la course au titre 2025. Si deux équipes de pointe utilisaient un système désormais jugé illégal, leurs victoires précédentes seraient-elles maintenues ? Des sanctions rétroactives pourraient-elles être envisagées ? Bien que la FIA n’ait pas commenté la possibilité de réviser les résultats antérieurs, la possibilité persiste, et des accusations de course au titre « truquée » ont commencé à faire surface sur les réseaux sociaux.
À quelques heures des qualifications, tous les regards sont désormais tournés vers le Grand Prix d’Espagne. Ce qui devait être une simple confrontation de mi-saison s’est transformé en un point d’ébullition pour la politique, l’éthique de la performance et le pouvoir réglementaire de la Formule 1. Une chose est sûre : le scénario du championnat a changé, et les conséquences de cette décision se feront sentir bien au-delà de Barcelone.