“Il ne mérite pas mon respect,” a déclaré catégoriquement Whoopi Goldberg, déclenchant immédiatement une atmosphère tendue. Elle a fait preuve d’indifférence face aux brillants succès d’Ousmane Dembélé, qui a apporté la gloire à la France. À peine dix minutes après la fin de l’émission, Dembélé a publié un commentaire court de dix mots, mais tellement tranchant qu’il a embarrassé Whoopi Goldberg et déclenché une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.

Le monde du football et du divertissement américain s’embrase après un échange virulent sur le plateau de The View, l’émission phare d’ABC animée par Whoopi Goldberg. La star hollywoodienne, connue pour ses prises de position sans filtre, a franchi une ligne rouge en s’attaquant frontalement à Ousmane Dembélé, le prodige français du Paris Saint-Germain et récent lauréat du Ballon d’Or 2025. « Il ne mérite pas mon respect », a-t-elle lancé d’un ton sec, provoquant un silence pesant dans le studio bondé de New York. Cette déclaration, prononcée en direct devant des millions de téléspectateurs, a non seulement minimisé les exploits légendaires de l’ailier de 28 ans, mais a aussi ignoré son rôle pivotal dans la victoire de la France à l’Euro 2024 et sa saison historique avec le PSG.

Tout a commencé par une discussion anodine sur le sport et la célébrité. Le panel, composé de Whoopi Goldberg, Joy Behar et Sunny Hostin, évoquait les héros contemporains du ballon rond. Lorsque le nom de Dembélé a été cité – lui qui a enflammé le Parc des Princes avec 35 buts et 16 passes décisives la saison dernière, menant le club parisien à un triplé historique en Ligue 1, Coupe de France et Ligue des Champions –, Goldberg a haussé les épaules avec dédain. « Brillants succès ? Pour qui ? Il a apporté la gloire à la France, dites-vous ? Et alors ? Ce gamin est un showman, pas un leader. J’ai vu des vrais champions, et lui… il ne mérite pas mon respect. Point final. » Ses mots, lourds de sous-entendus, ont été perçus comme une attaque personnelle, balayant d’un revers de main les sacrifices de Dembélé : ses blessures récurrentes au Barça, sa résilience et son leadership assumé sous Luis Enrique.

L’atmosphère s’est immédiatement tendue. Joy Behar, fidèle acolyte de Goldberg, a tenté de tempérer : « Whoopi, tu vas trop loin. Dembélé est un symbole pour la jeunesse française, un gosse issu des cités qui a conquis le monde. » Mais l’animatrice principale, butée, a rétorqué avec indifférence : « Succès ou pas, il n’impressionne personne ici. La France gagne avec ou sans lui. » Le public en studio a murmuré, et les caméras ont capturé des regards gênés. À peine dix minutes après la fin de l’émission, diffusée en direct à 11 heures heure de la côte Est, Dembélé a riposté sur son compte Instagram, suivi par 45 millions d’abonnés. Son message, un simple post de dix mots exactement – « Le respect se gagne sur le terrain, pas sur un plateau télé. » – a été accompagné d’une photo de lui soulevant le Ballon d’Or, trophée remis par Ronaldinho en personne lors de la cérémonie parisienne de septembre.

La réponse du Français, laconique mais acérée comme une lame, a mis Whoopi Goldberg en échec. Postée à 20h10 heure française, elle a explosé en quelques instants : plus de 5 millions de likes en une heure, des milliers de partages et une avalanche de commentaires incendiaires. « Whoopi qui snobe un Ballon d’Or ? Pathétique ! #TeamDembele », a tweeté Kylian Mbappé, coéquipier au PSG et ami proche. Sur X (ex-Twitter), le hashtag #WhoopiVsDembele a grimpé en trending mondial, avec des memes montrant Goldberg en train de dribbler un ballon… raté. Des fans français, furieux, ont lancé une pétition en ligne demandant des excuses publiques, recueillant 200 000 signatures en deux heures. « Elle ignore ce que c’est que de grandir dans la banlieue de Vernon, de surmonter les blessures pour devenir le meilleur joueur du monde. Indigne ! », s’est emportée une supportrice parisienne.

 

Ce n’est pas la première controverse pour Whoopi Goldberg, 70 ans, dont la carrière est jalonnée de clashes mémorables – de ses propos sur l’Holocauste en 2022 à sa récente comparaison entre la vie des Noirs aux États-Unis et celle des femmes en Iran en juin 2025, qui avait valu des critiques acerbes de Fox News. Mais attaquer Dembélé, icône nationale française et figure montante du foot mondial, touche une corde sensible. L’attaquant du PSG, passé par le Stade Rennais, Dortmund et Barcelone, incarne le rêve français : d’un dribbleur maladroit moqué pour ses ratés passés à un maître incontesté, auréolé de tous les trophées. Sa saison 2024-2025, avec un triompé en C1 contre le Real Madrid en finale (3-1, dont un doublé de l’intéressé), a effacé les doutes. « Je n’ai pas besoin de respect d’Hollywood pour savoir qui je suis », avait-il déclaré dans son discours émouvant au Ballon d’Or, remerciant Messi et le Barça, « le club de mes rêves ».

Du côté du PSG, Luis Enrique a minimisé l’affaire en conférence de presse : « Ousmane est concentré sur le terrain. Ces distractions ? Il les transforme en carburant. » Mais l’indignation persiste. Des influenceurs comme Léa Salamé ont relayé le post de Dembélé sur France Inter, qualifiant les mots de Goldberg de « maladroits et blessants ». Aux États-Unis, des figures comme LeBron James ont apporté leur soutien au Français : « Le terrain parle plus fort que les mots. Respect à Dembélé. » Goldberg, elle, n’a pas encore réagi publiquement, mais des sources internes à ABC murmurent qu’une excuse pourrait survenir lors de la prochaine émission. En attendant, cette passe d’armes transatlantique révèle les fractures entre le monde du showbiz et celui du sport : quand une légende hollywoodienne croise un prodige du ballon, les étincelles volent haut.

Cette affaire, survenue à la veille d’un choc en Ligue des Champions entre le PSG et Leverkusen, pourrait même booster Dembélé, de retour de blessure. Avec son commentaire de dix mots, il a non seulement embarrassé Goldberg, mais rappelé à tous : le vrai respect, c’est celui des terrains conquis, pas des plateaux contestés. La toile bout encore, et la France entière semble derrière son héros tricolore.

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