EXPLOSION TOTALE : L’avenir de Fred Vasseur chez Ferrari SE TRANSFORME EN CHAOS après l’émergence de NOUVELLES PREUVES.

La Scuderia Ferrari, joyau de la Formule 1, traverse une tempête sans précédent. Avec le début de la saison 2025, l’écurie italienne, synonyme de prestige et de passion, semble sombrer dans un chaos intérieur qui menace non seulement ses ambitions de titre, mais aussi l’avenir de son directeur, Frédéric Vassur. De nouvelles révélations, relayées par la presse italienne et internationale, jettent une lumière crue sur les tensions qui secouent Maranello, mettant en péril la position du Français à la tête de l’écurie. Que se passe-t-il réellement chez Ferrari ? Vassur parviendra-t-il à survivre à cette crise ?

 

Depuis le début de la saison 2025, Ferrari accumule les déceptions. Loin des promesses d’une campagne compétitive, l’écurie s’accroche à une humiliante quatrième place au classement des constructeurs, à 141 points du leader du championnat, McLaren. Les performances en piste sont en baisse, marquées par des erreurs stratégiques, des qualifications ratées et une incapacité chronique à rivaliser avec des noms comme Red Bull et McLaren. Le Grand Prix de Miami en mai 2025 a cristallisé ces difficultés : Charles Leclerc a publiquement admis que la voiture « n’offrait pas les performances nécessaires à la victoire », tandis que Lewis Hamilton, le nouveau venu de l’écurie, n’a pas réussi à surmonter les problèmes techniques de la SF-23.

 

Les Tifosi, les fans passionnés de Ferrari, perdent patience. Les réseaux sociaux, et notamment X, bouillonnent de colère et de frustration. Un message publié par @Ferrarif1fra résume l’état d’esprit : « Si Vassur veut terminer la saison en tant que vice-président exécutif de Ferrari, nous devons agir de toute urgence, repenser complètement notre approche et améliorer les premières lignes techniques ! » La pression est forte et tous les regards sont tournés vers Vassur, accusé de ne pas avoir réussi à inverser la situation depuis son arrivée en 2023.

L’une des faiblesses de Ferrari sous le commandement de Vassur reste sa gestion stratégique. Le Grand Prix d’Australie 2025 en est un exemple remarquable. Alors que la pluie s’intensifiait, Ferrari a fait le pari désastreux de conserver ses pilotes en pneus slicks, contrairement à Red Bull et aux autres équipes. Résultat : Hamilton et Leclerc ont chuté au classement, terminant respectivement huitième et dixième. Vassur, interviewé par la chaîne The+, a reconnu son erreur : « Le résultat est négatif, nous n’y étions pas parvenus. Mais cette erreur n’a pas suffi à apaiser les critiques. »

 

Il ne s’agit pas d’un incident isolé. Depuis 2024, des instructions maladroites et des décisions incohérentes ont empoisonné les week-ends de course. À Miami, une tentative de « changement » entre Hamilton et Leclerc pour rattraper Kimi Antonelli a coûté un temps précieux sans résultat tangible. Ces erreurs stratégiques rappellent cruellement les années sombres de Ferrari, lorsque l’équipe semblait incapable d’exploiter pleinement son potentiel.

 

Les rumeurs concernant le départ de Vassur continuent de s’amplifier. Selon certaines sources italiennes, un échange de propos violents avec le président de Ferrari, John Elkann, aurait eu lieu après le fiasco du Grand Prix de Chine, marqué par la double disqualification de Leclerc et Hamilton. Bien que Ferrari ait nié ces accusations, le communiqué concis publié à l’époque – annonçant une séparation « d’un commun accord » – a semé le doute. Plus récemment, le champion du monde 1996, Damon Hill, a déclaré lors du podcast Chequered Flag de la BBC que « Fred ressentirait la pression », affirmant que sa position était « de plus en plus intenable ».

Les spéculations vont bon train quant à un éventuel remplaçant. L’ancien pilote Ferrari, Sebastian Vettel, est cité pour un poste temporaire, tandis que d’autres évoquent le retour du prédécesseur de Vassur, Mattia Binotto. Cependant, ces rumeurs restent infondées pour l’instant, et Vassur continue de défendre son historique, mettant en avant de « petites améliorations » prévues pour Imola et Monaco, ainsi qu’un réajustement stratégique pour le Grand Prix d’Espagne.

 

Malgré l’excitation, Vassur garde un ton optimiste. Il souligne la qualité de ses pilotes, Leclerc et Hamilton, et la nécessité d’améliorer la voiture pour exploiter pleinement ses talents. « Nous devons résoudre nos problèmes un par un », a-t-il déclaré à Sky Sports . L’introduction de tests FIA plus rigoureux sur les ailerons avant flexibles à Barcelone pourrait également modifier le règlement, offrant à Ferrari une chance de regagner le terrain perdu.

Cependant, le temps presse. Avec 75 % de la saison 2025 encore à disputer, Ferrari se trouve à la croisée des chemins. Faut-il continuer à miser sur 2025 ou se tourner vers 2026, avec sa nouvelle réglementation ? Pour Vassur, la réponse semble claire : il faut sauver ce qui peut l’être, tout en jetant les bases d’un avenir plus solide. Mais les tifosi, lassés des promesses non tenues, exigent des résultats concrets.

Ferrari est plus qu’une écurie de Formule 1 : c’est une institution, un symbole de l’Italie. Chaque faux pas est examiné, chaque échec amplifié. Frédéric Vassur, en acceptant ce poste en 2023, savait qu’il entrait dans un monde où la pression est incandescente. Aujourd’hui, avec tant de critiques et des résultats lents à se concrétiser, son avenir à la tête de la Scuderia semble plus fragile que jamais. Parviendra-t-il à redonner à la monture essoufflée sa gloire passée ou sera-t-il emporté par la tempête ? Une chose est sûre : à Maranello, le chaos règne et la course contre la montre a véritablement commencé.

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