DERNIÈRES NOUVELLES : La légende du cyclisme Eddy Merckx brise le cœur des fans en révélant son ultime vœu…👇👇

DERNIÈRES NOUVELLES : La légende du cyclisme Eddy Merckx laisse les fans le cœur brisé alors qu’il révèle son dernier souhait

Dans une interview émue qui ébranle le monde du cyclisme jusque dans ses fondations, l’immortel Eddy Merckx, surnomméLe cannibale, son désir le plus profond mis à nu. A 80 ans, après une vie pleine de gloire et de cicatrices sur la route, le plus grand cycliste de tous les temps veut enfourcher à nouveau le vélo. Pas pour une étape du Tour ou une classique, mais pour un adieu intime et personnel : une dernière balade avant l’arrêt définitif des pédales. “Je veux mourir les mains sur le volant”, murmure Merckx dans une conversation exclusive avec Sporza, des mots qui font pleurer des milliers de fans et leur rappellent une époque qui ne reviendra jamais.

 

Eddy Merckx, né le 17 juin 1945 à Meensel-Kiezegem, est plus qu’un champion ; il est le symbole d’une passion imparable. Avec cinq victoires sur le Tour de France, cinq Giro d’Italia, trois titres mondiaux et d’innombrables classiques à son actif, il a réécrit l’histoire du cyclisme. Mais derrière les trophées se cache un homme qui ne voit pas le vélo comme une machine, mais comme une extension de son âme. “Le vélo, c’est ma vie”, a-t-il récemment déclaré dans Het Nieuwsblad, après une opération à la hanche qui l’a temporairement cloué au sol. “Pourquoi devrais-je m’arrêter ? C’est le seul endroit où je suis libre.” Aujourd’hui, face à la fragilité du vieillissement, Merckx révèle son souhait ultime : un dernier coup de pédale, lors d’une balade au coucher du soleil à travers les Ardennes flamandes, entouré de sa famille et de ses vieux rivaux. “Après, ça peut être fini. J’ai tout donné ; maintenant je le rends à la route.”

Cette annonce intervient à un moment où la santé de Merckx est plus fragile que jamais. En décembre 2024, la légende a fait une chute brutale lors d’une randonnée récréative, entraînant une fracture de la hanche qui a nécessité une intervention chirurgicale. L’hôpital d’Herentals a fait état d’un rétablissement sans problème, mais Merckx lui-même a été honnête : “Je dois faire attention à mes pas, mais faire du vélo ? C’est ma thérapie.” Pourtant le temps vous ronge. Ses amis et sa famille le décrivent comme un homme qui fait encore du vélo d’appartement tous les jours, regardant de vieilles images de course. “Il n’en parle pas, mais cela se voit dans ses yeux”, déclare son fils Axel Merckx, lui-même ancien coureur à succès et entraîneur national. “Le vélo est son ancre. Sans lui, il aurait été brisé depuis longtemps.”

Cette révélation a touché une corde sensible chez les fans du monde entier, qui voient Merckx comme l’incarnation du cœur cycliste flamand. Pensez à cette chute légendaire à Blois en 1969, où il affronta la mort lors du Tour de France. Un crâne fracturé, une pommette et une orbite cassées : les médecins ont déclaré qu’il ne courrait plus jamais. Mais Merckx, le Cannibale, s’est levé et a remporté ce Tour par force majeure. “Après Blois, ce n’était qu’un demi-Eddy”, se souvient le gardien Guillaume Michiels dans le documentaire.Eddy Merckx : le plus grand de tous les tempssur VRT MAX. Cette résilience l’a rendu immortel, mais aussi humain. Aujourd’hui, 56 ans plus tard, cette même résilience murmure un dernier souhait : non pas dans un lit d’hôpital, mais sur la selle, là où il appartient.

Les émotions bouillonnent dans le milieu cycliste. Les messages affluent sur les réseaux sociaux : « Eddy, emmène-nous dans cette balade », écrit un fan limbourgeois. D’anciens rivaux comme Bernard Thévenet et Felice Gimondi, qui le craignaient autrefois, partagent désormais les larmes. « Il nous a mangés, mais nous a donné la vie », tweete Thévenet. Même de jeunes stars comme Remco Evenepoel, qui considère Merckx comme une idole, répondent : “Quand vous monterez sur cette dernière étape, monsieur, je veux être là. Pour l’histoire.” C’est une vague d’amour qui n’est pas sans rappeler les adieux de Merckx en 1978, après une conférence de presse en mode mineur le 18 mai. Il a ensuite posé son vélo contre un mur à Wilsele – une photo devenue emblématique, même s’il a ensuite couru une fois de plus. Aujourd’hui, ce souhait fait écho : un mur, un dernier mouvement, mais cette fois définitif.

Pourquoi ce souhait maintenant ? Merckx, qui a fondé sa propre marque de vélos en 1980 et gère toujours une fortune à travers des sociétés comme Eddy-Publi (liquidée en 2022 avec 0,6 million d’euros), mène une vie frugale et riche. Il n’achète pas de produits de luxe, mais fait don de vélos à des œuvres caritatives – toujours de sa propre marque, qui revient dans le WorldTour. “J’ai tout gagné”, dit-il dans la biographieEddy Merckx : la biographie ultimepar Johny Vansevenant. “Mais la vraie récompense, c’était la route elle-même. La montée était pénible après Blois, mon bassin était toujours tordu, mais j’ai continué à faire du vélo. Maintenant, je veux finir comme j’ai commencé : sur les pédales.”

Pour beaucoup, c’est plus qu’un désir personnel ; c’est une leçon d’humanité. Dans un sport plein de scandales de dopage et de valeurs commerciales, Merckx nous rappelle la pure passion. Sa vie se lit comme un roman : des étapes de neige du Tour de Belgique à la boue de Paris-Roubaix, où il s’est imposé avec cinq minutes d’avance en 1969 – la plus grande marge jamais vue. Ou encore cette attaque du Col du Tourmalet en 1970, dont il franchit le sommet en solitaire. Chaque victoire était un combat, chaque coup de pédale une promesse aux fans.

Mais soyons honnêtes : ce souhait brise les cœurs car il se confronte à l’éphémère. Eddy Merckx, l’homme qui dévorait les montagnes, ressent désormais la lourdeur des années. Son épouse Claudine, avec qui il partage des bons et des mauvais moments depuis des décennies, acquiesce : “Il a raison. Laissez-le faire du vélo jusqu’au bout.” Et nous, les fans ? Nous pleurons, mais nous applaudissons aussi. Parce que si quelqu’un mérite de partir selon ses propres conditions, c’est bien lui.

Pendant que le monde du cyclisme attend des détails – quand, où, avec qui ? – l’appel à une balade hommage se multiplie. Les organisateurs du Tour des Flandres et de la piste cyclable Eddy Merckx à Kluisbergen (46 km de pur patrimoine Merckx) sondent déjà. Imaginez : des milliers de cyclistes, des amateurs aux pros, accompagnant leur héros sur ces derniers mètres. Ce ne serait pas un adieu, mais un salut éternel.

Le souhait d’Eddy Merckx nous le rappelle : la vie est comme une course – pleine de montées, de chutes et de sprints. Il a choisi le sprint, sur le vélo qui l’a défini. Fans, séchez vos larmes et prenez vos casques. Le Cannibale monte une fois de plus. Et nous pouvons regarder.

Vous souhaitez en savoir plus sur la vie d’Eddy Merckx ? Regardez le documentaire sur VRT MAX ou commandez Eddy Merckx : The Ultimate Biography. Partagez cet article si votre cœur se brise aussi – pour la légende qui nous a appris ce que signifie réellement la passion.

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