“QUAND LA FFF VEUT QUE BREST PERDE DES POINTS FACE À MARSEILLE, NOUS N’AVIONS MÊME PAS BESOIN DE JOUER LES 90 MINUTES.” L’entraîneur de Brest, Éric Roy, a publiquement dénoncé le penalty absurde accordé par l’arbitre de la FFF suite à la faute du défenseur Kenny Lala sur Igor Paixão. Éric Roy affirme que l’arbitre a clairement favorisé l’équipe locale : il ne s’agissait que d’une faute « inoffensive » et pourtant le penalty a été « offert ». Immédiatement, l’arbitre Willy Delajod a répliqué par un message cinglant de dix mots adressé directement à Éric et Lala, laissant tous les témoins complètement sidérés…

QUAND LA FFF VEUT QUE BREST PERDE DES POINTS FACE À MARSEILLE, NOUS N’AVIONS MÊME PAS BESOIN DE JOUER LES 90 MINUTES.

Le match Brest – Marseille de ce week-end restera gravé dans les mémoires, non pas pour sa qualité technique, mais pour la controverse explosive qui a éclaté au cœur du stade Francis-Le Blé. L’entraîneur de Brest, Éric Roy, a littéralement explosé devant les médias, dénonçant un penalty complètement absurde accordé par l’arbitre de la FFF, qui a bouleversé le cours naturel du jeu. La faute impliquait Kenny Lala, défenseur de Brest, et Igor Paixão, attaquant de Marseille. Selon Roy, il n’y avait strictement rien de dangereux dans cette action, et pourtant, l’arbitre a “offert” un penalty comme sur un plateau.

Éric Roy n’a pas mâché ses mots. Il a accusé publiquement la FFF de favoriser de manière flagrante l’équipe locale, transformant ce qui aurait dû être un match équilibré en un scénario pré-écrit. Pour lui, il ne s’agissait pas d’une simple erreur d’arbitrage : “C’est du favoritisme pur et simple. Ce n’est même pas une faute sérieuse, et ils nous donnent un penalty comme si c’était une formalité. On se demande vraiment pourquoi nous jouons encore les 90 minutes”, a-t-il lancé avec une colère à peine contenue.

La déclaration a secoué le monde du football français. Les journalistes, les supporters et même certains joueurs étaient sous le choc face à cette franchise sans précédent. Roy a insisté sur le fait que cette décision n’était pas seulement injuste, mais révélatrice d’un problème plus profond dans la manière dont certains arbitres de la FFF gèrent les matchs, laissant planer un doute sur l’équité des compétitions.

La réaction de l’arbitre Willy Delajod a été instantanée et tout aussi explosive. Dans un message extrêmement bref mais percutant, composé de dix mots seulement, il a répondu directement à Éric Roy et à Kenny Lala. Ce message a immédiatement fait le tour du stade et des réseaux sociaux. Tous les témoins étaient bouche bée, partagés entre incrédulité et fascination devant l’intensité de la confrontation verbale. Bien que les détails exacts du message restent partiellement confidentiels, son impact a été clair : la polémique ne faisait que commencer.

Les réseaux sociaux ont rapidement pris feu. Les supporters de Brest ont exprimé leur colère et leur frustration, dénonçant ce qu’ils considéraient comme une manipulation flagrante de l’arbitre pour favoriser Marseille. De nombreux fans ont partagé des vidéos et des extraits de l’action, analysant millimètre par millimètre la faute de Lala pour prouver qu’elle ne justifiait en aucun cas un penalty. Du côté marseillais, certains supporters ont adopté une posture prudente, conscients de la polémique mais refusant d’alimenter davantage la tension.

Éric Roy, quant à lui, a poursuivi sa charge en conférence de presse post-match, affirmant que la FFF devait revoir ses critères d’arbitrage et garantir l’équité sur le terrain. Selon lui, des décisions comme celle-ci ébranlent la confiance des clubs et des supporters dans le système. “Quand vous savez que des décisions peuvent être influencées, vous perdez le sens du jeu. Nous ne jouons plus seulement contre Marseille, mais contre une organisation qui manipule les résultats. C’est inacceptable”, a-t-il martelé.

Ce match restera dans les annales, non pour ses buts ou son intensité sur le terrain, mais pour cette confrontation explosive entre un entraîneur furieux et une instance arbitraire accusée de partialité. Les prochaines semaines promettent d’être animées, avec la FFF sous pression pour s’expliquer publiquement et clarifier sa position. En attendant, Éric Roy et son équipe ont marqué un point bien plus symbolique : dénoncer sans peur ce qu’ils considèrent comme une injustice flagrante, et rappeler à tous que sur un terrain de football, chaque décision compte – et certaines ne peuvent être ignorées.

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