Une tempête sans précédent secoue actuellement le football européen. L’arbitre espagnol José María Sánchez, au cœur du match explosif entre l’Atalanta et l’Olympique de Marseille, a été officiellement convoqué par les instances compétentes après de graves soupçons de manipulation du résultat. L’affaire a éclaté lorsque plusieurs séquences vidéo ont révélé une main évidente d’Ederson dans la surface, un geste que Sánchez aurait, selon les observateurs, intentionnellement choisi d’ignorer.

Ce silence arbitral, dans un moment aussi décisif, a suscité une vague d’indignation dans le monde du football. Les supporters marseillais ont crié au scandale, tandis que la presse européenne n’a pas tardé à parler d’un “nouvel épisode sombre dans l’histoire de l’arbitrage européen”. Mais c’est surtout la réaction furieuse de Roberto De Zerbi, entraîneur de l’Olympique de Marseille, qui a fait basculer cette controverse en véritable affaire d’État.
En conférence de presse, De Zerbi, visiblement hors de lui, a lancé des accusations d’une violence rare :
« Ceci n’est pas une erreur, c’est un crime contre le football ! L’UEFA doit annuler ce résultat honteux et aller jusqu’au bout de cette enquête. Si la justice n’est pas rendue, c’est la crédibilité de tout le football européen qui s’effondrera ! »

Des propos d’une intensité exceptionnelle, qui témoignent du profond sentiment d’injustice régnant au sein du club phocéen. Selon plusieurs sources internes à l’UEFA citées par la presse espagnole et italienne, une enquête indépendante a été immédiatement ouverte pour examiner le rôle du corps arbitral et du groupe VAR lors de cette rencontre controversée.
Toujours d’après ces mêmes sources, José María Sánchez aurait été suspendu temporairement de toutes ses fonctions internationales, dans l’attente des conclusions officielles. Le comité d’éthique de l’UEFA aurait également demandé l’accès complet aux communications internes entre l’arbitre principal et les assistants VAR pendant le match, afin de vérifier s’il y a eu intention de dissimulation ou directive extérieure suspecte.

Cette affaire intervient dans un contexte particulièrement sensible pour l’UEFA, déjà critiquée ces derniers mois pour le manque de transparence de son système d’arbitrage et la pression croissante des clubs exigeant des explications claires après plusieurs décisions litigieuses dans les compétitions européennes. L’enquête autour de Sánchez pourrait donc devenir un cas emblématique de la réforme que beaucoup jugent aujourd’hui indispensable.
Du côté de l’Olympique de Marseille, la colère ne retombe pas. Le club aurait officiellement déposé une réclamation auprès de l’UEFA, demandant non seulement une révision du résultat, mais aussi des sanctions exemplaires contre tout membre du corps arbitral reconnu coupable d’avoir influencé le déroulement du match. Les dirigeants marseillais affirment disposer de preuves vidéo irréfutables et de témoignages internes qui appuieraient la thèse d’une erreur intentionnelle.

Pendant ce temps, José María Sánchez garde le silence. Ni lui, ni la Fédération espagnole de football n’ont fait de déclaration publique. Mais selon des proches de l’arbitre, ce dernier se dirait « victime d’une campagne médiatique disproportionnée » et affirmerait avoir respecté le protocole VAR en vigueur. Une version que beaucoup jugent difficilement crédible au vu des images largement diffusées.
Quoi qu’il en soit, cette affaire, au-delà du simple cadre d’un match, met une fois de plus en lumière la crise de confiance profonde qui mine le football européen. Entre erreurs d’arbitrage, soupçons d’influence et enjeux financiers colossaux, l’intégrité du jeu semble vaciller. Si les accusations contre Sánchez venaient à être confirmées, ce serait un séisme sans précédent pour l’UEFA — et un avertissement brutal : le football, sans justice, n’est plus qu’un spectacle vidé de son âme.