FAITES-LA DEVENIR UN HOMME ! « Not My Zelda » devient VIRAL alors que des activistes pour les questions de genre CRIENT contre le casting du film Nintendo !

Le casting de Legend of Zelda de Nintendo suscite l’indignation virale et le débat parmi les fans

Le 16 juillet 2025, Nintendo et Sony ont dévoilé les acteurs principaux de leur adaptation live-action très attendue de The Legend of Zelda, dont la sortie est prévue le 7 mai 2027. L’annonce, partagée par Shigeru Miyamoto, le légendaire designer de Nintendo, sur X, a révélé que l’actrice britannique Bo Bragason, connue pour ses rôles dans Renegade Nell sur Disney+ et The Jetty sur BBC, incarnera la princesse Zelda, tandis que Benjamin Evan Ainsworth, reconnu pour avoir prêté sa voix à Pinocchio dans le remake live-action de Disney de 2022 et joué dans The Haunting of Bly Manor, endossera le rôle emblématique de Link. Miyamoto a exprimé son enthousiasme : « J’ai vraiment hâte de les voir tous les deux sur grand écran. » L’annonce du casting, accompagnée d’images des acteurs dans des costumes rappelant l’esthétique du jeu – Bragason dans une robe bleue évoquant la tenue Breath of the Wild de Zelda et Ainsworth dans une tunique verte – a marqué une étape importante pour le film, réalisé par Wes Ball, auteur de Le Labyrinthe et du Royaume de la Planète des Singes. Pourtant, ce qui semblait être un moment de célébration pour les fans de la franchise adorée s’est rapidement transformé en une véritable tempête virale, avec des hashtags comme #NotMyZelda en vogue et des militants pour l’égalité des sexes exprimant leur colère face au refus de confier le rôle de Zelda à Hunter Schafer, la star d’Euphoria.

The Legend of Zelda, pierre angulaire de l’héritage de Nintendo depuis ses débuts en 1986, s’est vendue à plus de 150 millions d’exemplaires au fil de ses différentes versions, ce qui en fait l’une des franchises de jeux vidéo les plus emblématiques de l’histoire. La série suit le héros muet Link et la sage princesse Zelda dans leur combat pour protéger le royaume mythique d’Hyrule du maléfique Ganon. Avec le succès des récentes adaptations vidéoludiques comme Super Mario Bros., le film, qui a généré plus de 1,3 milliard de dollars de recettes mondiales, et The Last of Us de HBO, l’attente pour les débuts cinématographiques de Zelda était immense. La collaboration de Nintendo avec Sony, cofinancée et distribuée par ce dernier, vise à reproduire ce succès. Miyamoto et Avi Arad, ancien PDG de Marvel Studios, sont à la production, tandis que TS Nowlin signe le scénario. Le casting de Bragason et Ainsworth, tous deux acteurs relativement jeunes et moins connus, âgés respectivement de 21 et 16 ans, s’aligne sur les jeunes protagonistes de la franchise, s’inspirant potentiellement de jeux comme The Wind Waker ou Ocarina of Time, où Link et Zelda sont représentés comme des adolescents.

Cependant, l’annonce a suscité une vague de réactions négatives, notamment de la part des militants qui avaient soutenu Hunter Schafer pour le rôle de Zelda. Schafer, actrice et mannequin de 26 ans, connue pour son travail dans Euphoria et Hunger Games : La Ballade des Oiseaux Chanteurs et des Serpents, était un choix de casting privilégié par les fans depuis l’annonce du film en novembre 2023. Son apparence éthérée, sa chevelure blonde et ses traits elfiques rappellent étroitement le design de Zelda dans des jeux comme Breath of the Wild et Tears of the Kingdom, alimentant les spéculations sur sa future favorite. Schafer elle-même a attisé les flammes, exprimant son enthousiasme pour le rôle lors d’interviews. En 2022, elle a confié à Entertainment Tonight : « Ce serait vraiment génial », lorsqu’on l’interrogeait sur son rôle de Zelda, et en 2023, elle a réitéré à Variety : « J’adore ce jeu, personnellement. J’y jouais enfant et j’y joue encore. Qui sait ! Ce serait vraiment génial. » Ses looks sur le tapis rouge, évoquant souvent l’esthétique de Zelda, ont encore amplifié les campagnes de fans sur les réseaux sociaux, avec des comparaisons côte à côte de Schafer et du personnage circulant largement.

 

La décision de choisir Bragason a suscité de vives réactions, certains militants y voyant une occasion manquée de représentation inclusive. Des publications sur X, dont une de @OphanimSongbird déclarant : « Pourtant, aucun Hunter Schafer Zelda n’est malheureux… », et une autre de @uhohswaggalert jurant : « Hunter Schafer Zelda, je te vengerai… », ont exprimé ce sentiment de déception. Le hashtag #NotMyZelda a fait fureur auprès des utilisateurs, certains affirmant que Nintendo et Sony jouaient la sécurité en choisissant une actrice plus jeune et moins controversée. D’autres ont spéculé que ce casting reflétait un choix délibéré de ne pas s’aligner sur les revendications des militants, notamment en matière d’identité de genre, Schafer étant une femme transgenre. Une vidéo YouTube incendiaire intitulée : « Faites d’elle un HOMME ! ‘Not My Zelda’ devient VIRALE, les militants de l’égalité des sexes hurlant au casting du film Nintendo ! » a amplifié le récit, accusant les militants d’avoir poussé Schafer à représenter Zelda comme un personnage masculin – une affirmation qui déforme la campagne des fans, qui se concentrait sur l’adéquation visuelle et le jeu d’acteur de Schafer pour le rôle traditionnellement féminin.

Malgré l’indignation, cette réaction a été accueillie avec des arguments contraires par les fans qui soutiennent le choix de Bragason et Ainsworth. Nombreux sont ceux qui affirment que la relative méconnaissance des acteurs leur permet d’incarner les personnages sans le poids d’une célébrité, une inquiétude soulevée après l’accueil mitigé réservé au choix de Chris Pratt pour incarner Mario dans Super Mario Bros., le film. Sur la publication Instagram de Variety, un internaute a commenté : « Je suis soulagé qu’ils aient choisi des acteurs moins connus. Cela semble plus authentique par rapport au film d’origine. » D’autres ont souligné la pertinence du casting en termes d’âge, Bragason et Ainsworth correspondant mieux aux versions adolescentes de Zelda et Link vues dans certains jeux. « Aussi parfait que Hunter ait pu paraître pour le rôle, il est clair qu’ils cherchaient un casting un peu plus jeune », a écrit un utilisateur sur X, reflétant l’idée que le film pourrait s’orienter vers un récit initiatique.

 

Cette controverse met également en lumière un débat plus large sur le casting et les attentes des fans en matière d’adaptations de jeux vidéo. Si la ressemblance de Schafer avec Zelda en faisait un choix convaincant, l’hypothèse selon laquelle elle était assurée d’obtenir le rôle reposait en partie sur des rumeurs non vérifiées, notamment une affirmation démentie de That Park Place selon laquelle une agence de relations publiques associée à Schafer aurait alimenté les spéculations. Cette révélation a conduit certains à s’interroger sur la validité de l’indignation, les sceptiques affirmant que la réaction négative est motivée par une minorité bruyante plutôt que par un large consensus. « S’emballer dans un battage médiatique non vérifié et des récits démentis ne fait qu’engendrer la malveillance et détourner l’attention du projet lui-même », a écrit Marvin Montanaro, rédacteur en chef de That Park Place, exhortant les fans à se concentrer sur le film lui-même plutôt que sur des controverses fabriquées de toutes pièces.

Une fois la poussière retombée, le casting de Bragason et Ainsworth représente un choix audacieux pour Nintendo et Sony, qui doivent relever les défis considérables de l’adaptation d’une franchise culte. L’expérience de Bragason dans des rôles variés, de la rebelle Amy Knightly dans The Jetty à la comédie de vampires The Radleys, suggère qu’elle peut apporter de la profondeur au personnage à la fois royal et résilient de Zelda. Ainsworth, avec ses performances nuancées dans Son of a Critch et Everything’s Going to Be Great, a le potentiel de capturer l’héroïsme discret de Link, même si le silence traditionnel du personnage dans les jeux vidéo pourrait évoluer à l’écran. Le réalisateur Wes Ball a privilégié une approche « terre-à-terre » et « réaliste » du film, le distanciant du spectacle à forte composante d’images de synthèse de ses précédents films, ce qui pourrait permettre à ces jeunes acteurs de briller dans un récit centré sur les personnages.

Le tournage devant débuter en novembre 2026 en Nouvelle-Zélande, les fans peuvent spéculer sur l’histoire du film et le casting additionnel, notamment celui du méchant Ganon. L’engouement suscité par le débat sur le casting souligne la passion des fans de Zelda, mais soulève également des questions sur l’équilibre entre les attentes des fans et les décisions créatives. Bragason et Ainsworth relèveront-ils le défi et feront taire les critiques ? Nintendo et Sony parviendront-ils à proposer un film qui honore l’héritage de The Legend of Zelda tout en inventant une nouvelle vision du cinéma ? À l’approche de la sortie en mai 2027, le monde entier aura les yeux rivés sur le film, non seulement pour l’aventure à Hyrule, mais aussi pour la résolution d’une controverse qui a déjà enflammé Internet.

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