« J’avais envie de disparaître de Marseille, de tout laisser et de sombrer dans le désespoir… mais il a saisi ma main et m’a tiré hors de l’abîme ! » Ces mots bouleversants, prononcés par Mason Greenwood lors d’un entretien exclusif avec un média sportif français, ont ému non seulement les supporters de l’Olympique de Marseille mais aussi l’ensemble du monde du football. Dans ce témoignage poignant, l’attaquant anglais lève enfin le voile sur les tourments qu’il a traversés depuis son arrivée en Ligue 1 et révèle, avec une sincérité désarmante, le nom du coéquipier qui lui a permis de retrouver espoir : Pierre-Emile Højbjerg.

Mason Greenwood, prêté par Manchester United à l’Olympique de Marseille, est arrivé dans un contexte de tension et de scepticisme. Entre pression médiatique, critiques incessantes et adaptation à un nouvel environnement, le joueur de 23 ans confie avoir frôlé le point de rupture. « Je ne voyais plus de lumière, je doutais de tout. J’avais vraiment envie de tout quitter, de disparaître », raconte-t-il, la voix tremblante. Ses propos révèlent un malaise profond, souvent caché derrière les performances sportives et les projecteurs des stades
Mais au milieu de cette tempête, une main s’est tendue. Greenwood cite nommément Pierre-Emile Højbjerg, le milieu de terrain danois arrivé à Marseille après son passage à Tottenham et au Bayern Munich. Selon l’attaquant anglais, Højbjerg a été bien plus qu’un coéquipier : « Il a été un frère pour moi, un guide. Quand je n’avais plus la force de me lever, il est venu frapper à ma porte. Quand je doutais de mon avenir, il m’a rappelé pourquoi je jouais au football. Sans lui, je ne serais peut-être plus ici aujourd’hui. »

Ce récit a immédiatement provoqué un séisme médiatique. Sur les réseaux sociaux, le nom de Pierre-Emile Højbjerg est devenu viral en quelques heures. Les supporters marseillais, surpris mais admiratifs, saluent unanimement le rôle discret mais déterminant du joueur danois dans le vestiaire olympien. Les spécialistes du football louent également cette attitude exemplaire : « Dans un monde où tout va vite et où l’individualisme prime, voir un joueur de ce niveau prendre le temps d’épauler un coéquipier en détresse est un message fort », analyse un chroniqueur sportif sur une chaîne française.
Højbjerg, connu pour son tempérament de leader et son expérience internationale, n’a jamais cherché à médiatiser son soutien. Interrogé sur ces révélations, il a simplement répondu avec humilité : « Ce que j’ai fait pour Mason, c’est ce que tout joueur devrait faire pour un coéquipier. Le football est un sport d’équipe, mais la vie en dehors du terrain peut être difficile. Si j’ai pu l’aider, j’en suis heureux. »

Pour Mason Greenwood, cette solidarité a été un tournant. Depuis plusieurs semaines, ses performances sur le terrain s’améliorent visiblement. Plus décisif, plus confiant, il retrouve peu à peu le niveau qui avait fait de lui l’un des espoirs les plus prometteurs de sa génération. Les supporters marseillais, initialement divisés sur sa venue, commencent à l’applaudir à l’Orange Vélodrome. Et beaucoup voient désormais dans ce duo Greenwood–Højbjerg l’incarnation d’une résilience collective qui pourrait transformer la saison de l’OM.
L’histoire racontée par Greenwood dépasse le cadre sportif. Elle met en lumière l’importance de la solidarité, de l’écoute et du soutien psychologique dans un milieu souvent impitoyable. Dans un vestiaire où la compétition interne est permanente, le geste de Pierre-Emile Højbjerg rappelle que le football reste avant tout une aventure humaine.

Ces révélations ont laissé la communauté footballistique sans voix. Non seulement elles révèlent l’envers du décor pour un joueur en pleine reconstruction, mais elles propulsent aussi Pierre-Emile Højbjerg au rang de modèle de leadership discret. À Marseille, où la pression est constante et la passion débordante, cette histoire donne un visage humain à un club trop souvent réduit à ses résultats sportifs.
À travers cette confession, Mason Greenwood offre un témoignage d’une rare intensité. Il nous rappelle que derrière chaque performance, chaque but et chaque transfert, se cache un être humain avec ses doutes et ses failles. Et parfois, il suffit d’un geste, d’un mot, d’une main tendue – celle de Pierre-Emile Højbjerg – pour transformer un moment de désespoir en un nouvel élan.