« Assieds-toi, Barbie. » 🔴 Mason Greenwood surprend en qualifiant Karoline Leavitt de marionnette de Trump en direct à la télévision après que celle-ci l’a insulté et accusé l’OM d’« acheter les arbitres ». En seulement dix mots, Greenwood a réduit Leavitt au silence. Elle a tenté de répliquer, mais face à la vérité brutale, elle est restée muette, plongeant tout le plateau dans un silence total.

La scène s’est déroulée en direct, sous les projecteurs d’une émission télévisée suivie par des millions de téléspectateurs. Invité pour parler de football et plus précisément des polémiques autour de l’Olympique de Marseille, Mason Greenwood ne s’attendait sans doute pas à devenir le protagoniste d’un moment viral qui allait embraser la sphère médiatique et politique. Face à lui, Karoline Leavitt, figure montante de la droite américaine et soutien affiché de Donald Trump, avait décidé d’adopter un ton provocateur et d’attaquer frontalement l’ancien joueur de Manchester United.

Tout a commencé lorsque Leavitt, visiblement irritée par les questions du présentateur, a saisi l’occasion pour lancer une pique inattendue contre l’OM, accusant le club phocéen d’« acheter les arbitres » pour s’assurer des victoires. Cette accusation gratuite, sans fondement ni preuve, a immédiatement déclenché une réaction outrée sur le plateau. Greenwood, qui défend avec vigueur sa nouvelle équipe et refuse toute insinuation de corruption, n’a pas tardé à réagir.

Mais avant même de répondre sur le fond, l’attaquant anglais a choisi de frapper fort sur la forme. D’une voix ferme et sans la moindre hésitation, il a lancé à son interlocutrice : « Assieds-toi, Barbie. Tu n’es qu’une marionnette de Trump. » Dix mots qui ont fait l’effet d’une bombe. Le plateau est resté figé, les spectateurs interloqués, tandis que Leavitt, d’ordinaire si prompte à répliquer, restait bouche bée.

Le malaise était palpable. Les caméras ont capté son regard perdu, sa bouche entrouverte comme pour préparer une réponse qui ne viendrait jamais. Elle a tenté, pendant quelques secondes interminables, de retrouver contenance, mais les mots semblaient l’avoir abandonnée. Le silence qui a suivi, lourd et glacial, a transformé ce moment en séquence historique de télévision.

Les réactions n’ont pas tardé à envahir les réseaux sociaux. Les extraits vidéo ont été partagés à une vitesse fulgurante, accumulant des millions de vues en quelques heures. Sur Twitter, les hashtags #AssiedsToiBarbie et #GreenwoodVsLeavitt figuraient parmi les tendances mondiales. De nombreux internautes ont salué le sang-froid et la répartie de Greenwood, qualifiant sa réplique de « gifle magistrale » à l’arrogance de Leavitt. D’autres, en revanche, ont jugé les propos sexistes et condescendants, ouvrant un débat parallèle sur les limites de la provocation verbale en direct.

Sur le plan politique, l’affaire a pris une tournure encore plus spectaculaire. Les partisans de Karoline Leavitt ont crié au scandale, accusant Greenwood de manquer de respect non seulement à la jeune politicienne, mais également à tout un mouvement. De leur côté, les détracteurs de Trump ont saisi l’occasion pour tourner en dérision l’image de Leavitt, transformée en symbole d’une loyauté aveugle.

Au sein du monde sportif, la séquence a également suscité de vives discussions. Plusieurs figures du football français et international ont exprimé leur soutien à Greenwood, rappelant qu’il avait été provoqué de manière injuste et qu’il n’avait fait que défendre son club face à des accusations mensongères. D’autres voix plus modérées ont toutefois souligné que, même en situation de tension, un joueur professionnel devait garder son calme et éviter d’employer des formules potentiellement offensantes.

Quant à l’OM, le club s’est contenté d’un communiqué laconique dans lequel il réaffirme « son intégrité et son respect absolu des règles du jeu », sans commenter directement l’incident télévisé. Mais en coulisses, certains dirigeants se disent satisfaits de voir Greenwood afficher un attachement aussi fort aux couleurs marseillaises, prêt à prendre la parole pour défendre l’honneur du club.

Quoi qu’il en soit, l’épisode restera gravé comme l’un de ces instants où la frontière entre sport, politique et spectacle médiatique se brouille totalement. En dix mots, Greenwood a provoqué un séisme qui dépasse largement le cadre du football. Et Karoline Leavitt, elle, devra désormais vivre avec cette image : celle d’une politicienne réduite au silence en direct, incapable de répondre à une vérité brutale, sous le regard stupéfait de millions de téléspectateurs.

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